A la recherche d'un emploi.

Medar marchait dans les rues de Los Angeles d'un pas calme et décider. Aujourd'hui, il était temps de trouver un vrai travail. Oh, certes, il avait jusqu'ici vécu de petits boulots trouvés de si de là, et il avait acquit de l'expérience dans divers domaines, mais il ne pouvait plus continuer comme ça. Il avait besoin d'une situation stable pour pouvoir vivre vraiment... Et aussi pour commencer à mieux comprendre la haine que les Humains, du moins ceux qu'il avait rencontrés, portaient aux Mutants. Ces humains étaient si... si faibles, et pourtant ils osaient mépriser ceux qui étaient différent d'eux. A chaque fois qu'il avait mentionné son pouvoir dans un entretien, il avait été systématiquement fichu dehors. Pourtant, il n'y avait pas de quoi en faire tout un plat... Il avait juste changé d'apparence une fois ou deux, et il n'arrivait même pas à le faire sur commende. Mais malgré tout, ça suffisait aux gens... Il était systématiquement catalogué comme un monstre.

C'est pourquoi il avait décider de ne faire valoir cet... "atout"... qu'en dernier recours. Pour sa première tentative de trouver du travail, il avait décider de viser haut : l'Avalon Corp. Partant du principe qu'il valait mieux commencer en haut pour descendre au besoin que de débuter en bas et de monter péniblement, il avait téléphoner aux bureaux de l'entreprise, où on lui avait répondu qu'on cherchait effectivement des employés, et qu'il devait passer au siège de la compagnie, où l'on déciderait si on le recrutait ou pas. Il avait donc enfiler son plus beau costume fonctionnel, songeant au passage qu'en contrôlant ses maudites transformation, il aurait pu s'en passer, et à la date dite, il c'était mit en route une heure avant son rendez vous. Il n'espérait pas un post élever, tout travail serait bon à prendre. Son spectre de "compétence" était très large, et il aurait pu sans problème être réceptionniste ou vigile.

Il arriva finalement devant la fameuse Avalon Tower, le siège de la compagnie. Il avait sous le bras un dossier contenant son expérience la plus "reluisante", ainsi qu'un court texte, au cas où on lui demanderais un écrit au lieu d'une demande oral :

"Nom : X'aelis

Prénom : Medar

Post demander : Réceptionniste, ou vigile si premier choix indisponible.

Qualification : De l'expérience dans les deux domaines.

Résolument, il passa la porte de l'immeuble et se dirigea vers l'endroit qu'on lui avait indiquer au téléphone.

HRP/Voilà, si un admin ou Magnéto pouvait continuer.../HRP

[HRP: je m'en occupe ]

Il arrive donc dans une salle d'attente tout ce qu'il y a de plus conventionnel, mais au décor riche et visiblement fait pour impressionner le quidam qui y entre pour la première fois. Et qui de toute manière, après avoir passé le Hall d'entré de la Avalon Tower, où une maison unifamilliale aurait put tenir à l'aise et propre à rendre muet de stypeur et d'admiration les plusblasés, il est déjà passablement impressionné. La salle en question se compose de quatres fauteils - pas des chaises inconfortable, des fauteils - en cuir, une table basse couverteds de queqlues magazines d'affaires et d'économie, une fontaine-abreuvoir dans un coin, près d'un aménagement floral assez magnifique, et des tableua au murs complètes le décor. Une bureau d,acceuil est au fond de cettesalle. C,est là que doit se rendre le prétendant à un emploi quand il pénètre dans cete salle.

Une jeune femme blonde, en tailleur inpé.cable et qui porte les cheveux en un chignon strict, est assise derrière le comtoir et pianote sur le clavier d'un ordinateur de bureau. Elle ne prète aucune attention à l'home qui vient d'entrer. Elle est stylée et respire la classe, comme tout dans cet endroit. Enfin, elle lève lesyeux de son travail quand le jeune homme atteint son bureau, et lui dit, de sa plus belle voix de standardiste, polie mais sans timbre:

- Bonjour, Monsieur. Vous avez rendez-vous?

[HJ: dsl pour le retard, je bosse tout el temps ces temps-ci et je suis trop crevée et en manque d'inspi pour poster le soir...]

La femme reporta le regard sur son écran d'ordinateur et tapa queslques mots. Elle releva ensuite la tête avec le même sourire artificiel, et elle lui dit, sur un ton amical et avenant, très "marque déposé":

- Bien sûr, Monsieur! Veuillez vous asseoir, quelqu'un viendra vous chercher dans quelques minutes.

Elle sembla ensuite se désintéresser totalement de lui et retourna à ses occupations. Son téléphone sonna et elle décrocha, répondant de la même voix faussement amicale de standardiste que tout à l'heure. N'ayant plus qu'à aller s,asseoir et attendre, le demandeur d'emploi avait l,embarras du cjhhoix pour le siège puisque la salle était vide à part lui et la réceptioniste. Il n'eut pas à atendre longtemps. 5 minutes plus tard, une porte s'ouvrit au fond de la salle, derrière le bureau d'aceuil ou la jeune femme n,avait toujours pas quitét son téléphone, et un homme d'une quarantaine d'années l'air sportif, les cheveux noirs impecablement peignés et grissonant aux tempes, en sortit. Il sourit à Medar, qui attendait, et lui dit:

- Monsieur Medar? Je suis Mike Ordesky des ressources humaines. Veuillez me suivre!

"Bien sûr, Monsieur! Veuillez vous asseoir, quelqu'un viendra vous chercher dans quelques minutes."

Voilà ce qu'avait dit la réceptionniste... Comme il n'avait pas vraiment le choix, Medar avait prit place dans l'un des fauteuils, et avait attendu patiemment... Encore une fois, il se demanda si il pourrait faire se métier, travailler ici non en temps qu'homme mais en temps qu'une partie du personnel de la compagnie... Bah, dans le pire des cas, il pouvait toujours faire vigile... Alors qu'il attendait depuis seulement quelques minutes, un homme d'une quarantaine d'années l'air sportif, les cheveux noirs impeccablement peignés et grisonnant aux tempes s'approcha de lui en souriant.

" Monsieur Medar? Je suis Mike Ordesky des ressources humaines. Veuillez me suivre!"

Un instant, Medar fut surprit.

Monsieur Medar ? Pas "X'aelis"... étrange... enfin, au moins les réponses sont rapides...

Ne s'attardant pas plus sur cette étrangeté, le Mutant se releva.

"Enchanté, monsieur Ordesky ..."

HRP/ désoler, c'est assez court, mais je n'avais pas d'inspiration sur ce sujet.../HRP